27 novembre 2006

Toledo - Monestario de San juan de los reyes

Il s'agit d'une commande des Rois catholiques en remerciement de la victoire lors de la Bataille de Toro. Il ne compte qu'une seule nef avec des chapelles latérales entre les contreforts. Sa façade principale arbore les chaînes de prisonniers libérés. Il possède un cloître de style gothique tardif et le plafond du second étage est de style mudéjar. Son église est à nef unique et possède une coupole en étoile. Il faut également remarquer la chapelle majeure décorée des armoiries des Rois catholiques, soutenues par de grands aigles, des arcs en accolade et des figures de saints.

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Toledo - Les rues






Tolède s'élève au sommet d'une butte granitique entourée par le Tage. Tolède était aussi réputée pour ses soieries, ses armes et les nombreux artistes qu'elle accueillit, comme le Greco, qui y résida de 1577 à 1614.

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Toledo - Catedral

Tolède est une ville disposant d'une grande richesse monumentale. Chrétiens, Arabes et Juifs ont vécu ensemble durant des siècles dans cette « ville aux trois cultures », qui conserve encore à l'intérieur de ses remparts un riche patrimoine artistique et culturel, sous la forme d'églises, de palais, de forteresses, de mosquées et de synagogues. Cette grande diversité de styles artistiques explique que la vieille ville de Tolède soit un authentique musée en plein air et ait été classée Patrimoine mondial.





La cathédrale de Tolède fut fondée par Ferdinand III le Saint, en 1227. L'intérieur, assez sombre, abrite de grandes oeuvres d'art. Dans le coin sud-est de la cathédrale, se trouve la chapelle mudéjar où le rite mozarabe est toujours pratiqué.

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Toledo - La ville






Successivement municipe romain, capitale du royaume wisigoth, place forte de l'émirat de Cordoue, avant-poste des royaumes chrétiens en lutte contre les Maures et, au XVIe siècle, siège temporaire du pouvoir suprême sous Charles Quint, Tolède est la gardienne de plus de deux millénaires d'histoire. Ses chefs-d'œuvre proviennent de diverses civilisations dans un environnement où l'existence de trois grandes religions – le judaïsme, le christianisme et l'islam – était un élément essentiel.


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Budweiser Bar

Pas facile de capter le WiFi !

20 novembre 2006

La poste de Madrid

Parque del Retiro 3


Parque del Retiro 2


19 novembre 2006

Parque del Retiro 1

News

La colocation bat son plein et finalement nous parlons ensemble plus que je ne l’aurais cru. Les mexicains essaient de glisser leurs mots dans nos vocabulaires mais heureusement les polonais sont là pour rectifier le tir. Il y a aussi certains pièges sémantiques à éviter : jamais un Latino-Américain ne pourra coger el autobus ou tout autre chose car outre-atlantique le verbe coger a pris une signification sexuelle !
Autre exemple probant : chaqueta = veste en espagnol mais masturbation en mexicain.

Bilan provisoire

15 jours sur Madrid et le bilan est plutôt bon .Nous commençons à mieux nous exprimer en espagnol et parfois même, nous accomplissons des prouesses linguistiques dont l’ampleur n’étonne que nous.
Le dernier exemple qui me revient : un « Ojala que + subjonctif » (j’espère bien que) servi au mécanicien m’annonçant que l’alternateur de la voiture est réparé mais que la « bomba de agua » risque de rendre l’âme prochainement.


13 novembre 2006

Soirée à l'appart

Les propriétaires ont débarqué au bout d'une heure vociférant des palabres incompréhensibles, qui voulaient certainement signifier que le niveau sonore d'une dizaine de personnes glougloutant dans l appart, importunait les voisins de tout l immeuble.
Tant pis, pour se venger et gueuler comme des soiffards direction la boîte de nuit Chesterfield.
Voici une photo de début de soirée (je vais essayer d'en trouver d'autres à une heure plus avancée) :


PS : mon grand plaisir en ce moment est de placer des "A poil !" en rentrant dans le salon ou la cuisine. Dès que j excellerais dans cet art je m'attaquerai au métro (plus risqué car on n'est pas à l'abri de francais-espions dans les rames)

11 novembre 2006

Concert de Jazz


Festival de Jazz dans un Bar-Lounge. Ambiance feutrée, un quintet enflamme la scène et nous sommes une dizaine attablés au premier rang, en train de chimer des Whisky on the rock ; Vale !!!

Soirée Puerta Del Sol

En avant pour une première soirée entre «companeros». Apéro-tapas a la Puerta Del Sol, puis tournée des bars. Pour l’instant nous avons surtout des atomes crochus avec le couple de polonais Jacek et Eva (3 de leurs copines viennent passer 4 jours sur Madrid), Conrado un mexicain bien cool et Eva la Portugaise.


08 novembre 2006

El parque del oeste


Ch'tite ballade dans le parc et ch'tite visite du temple Egyptien qui s'y trouve (Debod de son p'tit nom). Il est aurait été donné aux espagnols en 1968 pour les remercier d'avoir participé au chantier phara...mineux du sauvetage des temples, pour la construction du barrage d'Assouan.
Un cadeau en kit pas facile à emballer!



06 novembre 2006

De la galère à la sérénité

Désespérés de ne pas trouver d’appart, le moral est au plus bas.
Heureusement que sur un coup de chance incroyable nous voici enfin posés et prêts à vivre pleinement l’aventure. Nous habitons actuellement à Argüelles dans un appart monstrueux de 220 m2 avec 9 personnes (2 polonais, 2 mexicains, 1 portugaise et 4 espagnoles).
Il nous aura fallu 3 remorquages, 3 taxis et 4 nuits d’hôtels avant cette récompense !!!



Galère 4

Bon, laissons la voiture au parking, elle nous a franchement gavée !!
Reste à trouver un endroit pour dormir, nous chercherons un appart’ plus tard.
Je vais passer sur les détails, mais en gros on a passé 4 nuits dans deux hôtels différents (un mafieux et un chez l’habitant). J’ai dû aussi sortir la Chikun du parking souterrain pour la faire remorquer dans un garage choisi par mon assurance (à 30 km de Madrid génial).
Il est minuit, on commence l’université dans quelques heures …

Galère 3

Départ aux aurores avec la boule au ventre : va-t-on pouvoir rejoindre Madrid sans problème ? (Il nous reste 4 heures de route en théorie!).
Les 200 premiers km pas de souci puis voila que la bagnole se met à toussoter. J’ai tout juste le temps de m’arrêter sur une aire d’autoroute. Evidemment, le bolide refuse tout démarrage et nous voici en train de courir pour la « défribiller ». Elle finit par repartir mais nous avons dû nous arrêter tous les 30 km pour lui permettre de se reprendre vie. Finalement pas de remorquage et le panneau Madrid semble enfin se dessiner au loin…

Galère 2

De nouveau on the road, tout semble OK sur la autovia quand soudain un ralentissement suspect de la voiture nous fait craindre le pire. Obligés de s’arrêter sur la bande d’arrêt d’urgence et de sortir illico en dehors des glissières de sécurité !
La Chikun est alors remorquée au village le plus proche : Bujaraloz.
Le garagiste nous explique que c’est un problème d’alternateur et qu’il n’a pas la pièce.
A ce niveau là, ça sent déjà le roussi. Il nous propose de recharger la batterie à bloc et nous dis d’attendre le lendemain pour atteindre Madrid.
Un coup d’œil rapide à l’horizon et nous comprenons que nous allons devoir passer la nuit dans un bled paumé en plein Aragon.
Au bout du compte, l’hôtel et le petit déjeuner sont pris en charge par l’assurance et nous avons passé un bon moment entre le bar et le restaurant mais nous n’étions pas au bout de nos peines…


Galère 1

En route pour 12 heures de voiture en Chikungunya chargée à bloc, seulement voilà…
Tout se déroule pour le mieux dans le meilleur des mondes jusqu‘au 700ème kilomètres, parce qu’après les galères s’enchaînent. Imaginez vous au milieu de la pampa espagnole et à l’horizon une station essence : rassurant, nous pouvons donc faire le plein de notre petit turbo. Seulement voilà, impossible de redémarrer ! Premier réflexe, regardez Elo d’un air de dire : « Qu’est-c’que t’as encore touché », ensuite s’assurer de ne pas avoir bêtement rempli son réservoir de gazole puis finalement se dire qu’on n’est pas près d’arriver.
Pendant ce temps, les haut-parleurs de cette station déserte distillent une daube commerciale espagnole qui nous empêche de réfléchir et, comme dans les vieux western, la botte de paille passe.
Finalement (merci Bettara pour l’assistance téléphonique) la voiture redémarre pour des raisons encore inconnues à ce jour…